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Le rôle précurseur de Philippe Picot de Lapeyrouse, naturaliste toulousain du Siècle des lumières, dans la paléontologie des rudistes

Michel DURAND-DELGA & Jean PHILIP

en Comptes Rendus Palevol 2 (2) - Pages 181-196

Publié le 31 mars 2003

Le rôle précurseur de Philippe Picot de Lapeyrouse, naturaliste toulousain du Siècle des lumières, dans la paléontologie des rudistes

Bivalves coloniaux fixés très singuliers qui peuplent les mers chaudes des plates-formes péri-téthysiennes au Secondaire, les rudistes ont attiré l’attention dès la Renaissance. L’abbé de Sauvages donne en 1746 leur première figuration, mais c’est surtout Picot de Lapeyrouse, naturaliste toulousain, dont la vie et l’activité aux multiples facettes sont rappelées, qui publia en 1781 une remarquable description des rudistes de la montagne des Cornes (Corbières), qu’il nomma « orthoceratites » et « ostracites ». La création par Lamarck en 1801 des genres Hippurites et Radiolites, puis celle des familles Hippuritidae et Radiolitidae par Gray en 1848, s’appuyèrent sur les découvertes de Lapeyrouse.


Mots-clés :

rudists, hippuritids, radiolitids, Corbières, Picot de Lapeyrouse, P.A. de Sauvages, Académie des sciences, Paris

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